The Cardinals of the Holy Roman
Church
Bibliographic items added to the site - July
to September 2016
Following are the books and articles added to the general bibliography and/or the individual biographical entries between the months
of July and September 2016.
- A sua Eminenza il Signor Cardinale Niccolò Marini, reverente omaggio dei collaboratori del Bessarione.
Roma : Tipografia pontificia nell'Istituto Pio IX, 1916.
- Benedict XVI. Last Testament. In His Own Words. With peter Seewald. San Francisco : Ignatius Press, 2016.
Description: Pope Benedict made history by being the first Pope in over 700 years to resign from office. The Catholic Church the
world over was stunned. Worn out by corruption in the Church and by an endless series of clerical sex scandals, he decided that the
resolution of all these problems was outside his power for a man of his age. Last Testament is nearest to an autobiography from the
shy and private man who has remained “hidden to the world” in a former convent in the Vatican gardens. He breaks his silence on issues
such as: - The “Vatileaks” case in which his butler leaked some of his personal letters that alleged corruption and scandal in the
Vatican (the butler remains in jail); - The presence of a “gay lobby” within the Vatican and how he dismantled it; - His alleged Nazi
upbringing; - His attempts at cleaning up the “dirt in the church” (clerical sexual abuse); - The mysterious private secretary
“Gorgeous George”. On a more personal level he writes with great warmth of his successor Pope Francis, who he admits has a popular
touch, a star quality which he has lacked. Much controversy still surrounds Pope Benedict`s Papacy--in this book he addresses these
controversies and reveals how at his late age, governing and reforming the Papacy and particularly the Vatican, was beyond
him.
- Bolton, Anselm. A Catholic Memorial of Lord Halifax and Cardinal Mercier. London : Williams & Norgate,
1935.
- Boudon, Jacques-Olivier. Napoléon et les cultes. Paris : Fayad, 2002. Description: En signant en 1801 un
concordat avec le pape, Napoléon Bonaparte met fin à dix années de crise consécutive à la Révolution française. Mais il ne rétablit
pas l'Eglise catholique dans le statut qui était le sien en France en 1789. Les maîtres mots de la reconstruction concordataire sont
en effet liberté religieuse et égalité des cultes. Pourtant le chef de l'Etat entretient avec la religion un rapport ambigu : fort
détaché des pratiques, ce disciple de Rousseau croit néanmoins en son utilité pour assurer la paix civile (c'est pour cela qu'il
encadre tout aussi étroitement le protestantisme et le judaïsme). D'un côté il craint de voir renaître un Etat dans l'Etat et surveille
attentivement le développement de l'Eglise ; de l'autre, il en a besoin pour asseoir son régime, comme le montre bien l'exemple du
sacre en 1804 qui conduit à la mise en place d'une véritable monarchie chrétienne. Le régime se montre favorable aux Eglises qui
connaissent, au moins dans les premières années, un renouveau indéniable. Mais la seconde partie du règne, après 1808, est marquée par
un grave conflit entre le Sacerdoce et l'Empire, qui conduit à l'enlèvement et à la captivité de Pie VII. Cette crise provoque un
ébranlement profond dans certaines régions catholiques, notamment dans les départements réunis (Belgique) mais aussi en Italie, où
l'hostilité à Napoléon naît en partie de cette crise, sans parler de l'Espagne où la résistance catholique est une des clefs de
l'échec des Français. L'intérêt d'étudier la politique religieuse de Napoléon tient aussi à ce qu'elle a servi de modèle à une grande
partie des Etats passés sous la domination française entre 1800 et 1815. Au-delà de la France, c'est donc à un tableau de l'ensemble
de l'Europe religieuse qu'invite cette synthèse. Sans négliger les questions classiques concernant les relations entre Eglise et Etat,
ici revues à nouveaux frais, elle fait la synthèse des travaux les plus récents sur les pratiques et le renouveau de la vie religieuse,
sur l'attitude des clergés ou la vie des ordres religieux, sur le rôle des associations secrètes dans la résistance à Napoléon, sur la
place des Eglises dans le débat intellectuel et l'éducation. Les traces de la politique impériale en ce domaine sont nombreuses dans
l'Europe du XIXe siècle, en particulier en France. La plus durable est sans doute l'idée de construire un Etat sur le pluralisme
religieux. En cela Napoléon est l'un des précurseurs de l'idée laïque.
- Bouyer, Orat., Louis. Woman in the Church. San Francisco : Ignatius Press, 1984.
- Calabretta, Leonardo. Le diocesi di Squillace e Catanzaro. Cardinali, arcivescovi e vescovi nati nelle due
diocesi. Cosenza, Italy : Luigi Pellegrini Editore, 2004.
- Carmona, Michel. La France de Richelieu. Paris : Fayard, 1984. Description: Les paysans sont-ils des bêtes?
Faut-il excommunier les buveurs de chocolat? Un mouchoir sert-il à cracher dedans ou à couvrir la gorge des jolies femmes? Le don des
langues est-il une preuve de diablerie? Est-il vrai que les Chartreux ont la grâce d'être à jamais exempts des morsures de punaises? Un
Français catholique est-il plus proche d'un Espagnol catholique que d'un Français protestant? Telles sont quelques-unes des questions
qui agitent la société française du temps de Richelieu. Ne nous y trompons pas: nos ancêtres de ce premier XVIIe siècle, "siècle des
héros et des saints", sont infiniment proches de nous. Ils inventent le patriotisme et le sens de l'Etat, la pression fiscale, l'armée
permanente, les grandes manufactures, une façon d'habiter dans les villes qui est déjà la nôtre. Siècle de Descartes et de la raison
raisonnante, de l'Académie française et du bien parler, du théâtre classique et des bienséances, de la gastronomie française et de la
presse d'opinion. Siècle de l'absolutisme et du jansénisme, où voisinent l'ombre équivoque du Père Joseph avec son cortège d'espions,
Théophraste Renaudot, la marquise de Rambouillet et saint Vincent de Paul, siècle de mousquetaires et de ribaudes, d'artistes et de
sorcières, de lyrisme et de calcul, de discordes et d'union nationale, c'est la France de Richelieu, première image de la France
moderne.
- Carmona, Michel. Richelieu. Paris, Fayard, 1983. Description: L’homme en habit vert de bouffon, qui danse la sarabande
devant la Reine Anne d’Autriche, vous connaissez ? Il s’appelle Armand Jean du Plessis de Richelieu, cardinal, premier ministre de
Louis XIII, Roi de France et de Navarre. Se souvient-il du brillant cavalier qu’il fut jeune homme, avant que l’impérieux devoir de
famille n’en fasse un évêque de Luçon, l’ « évêché le plus crotté de France » ? Il a goûté la faveur, l’amertume de l’exil, l’équivoque
fierté que donne la certitude d’une intelligence hors pair. Patient et impulsif, persévérant dans l’adversité, dévoré par l’anxiété, la
maladie, l’ambition, il forge un Etat, une nation. Pourquoi, pour qui ce labeur immense, cette volonté implacable, la tête de Cha-lais
puis celle de Cinq-Mars, les morts de La Rochelle et les pendus d’Avranches ? Richelieu, père de la France moderne? L’histoire vraie,
plus passionnante qu’un roman, d’un homme et de son époque. Une invitation à réfléchir sur l’art difficile de gouverner les
Français.
- Chaunu, Pierre ; Escamilla, Michèle Escamilla. Charles Quint. Paris : Fayard, 2000. Description:
Souverain des Pays-Bas, roi de naples et d'une bonne partie de l'Italie, roi des Espagnes (et avec la Castille d'immenses territoires
américains), empereur et à ce titre en charge des Allemagnes, enfin titulaire d'une demi-douzaine d'autres royaumes, principautés et
duchés, Charles Quint (1500-1558) eut à assumer par le hasard des héritages le plus improbable empilement de couronnes que l'Europe
ait jamais vu sur une seule tête. N'eussent été la France avec son précoce et efficace Etat-nation et (dans une mesure bien moindre)
l'Angleterre, il ne fut pas loin de régner sur toute la chrétienté latine et d'accomplir le rêve que le Moyen Age avait en vain
caressé avant lui : un empire universel et pacifié vivant d'une même foi mais laissant à chaque peuple son génie propre et ses usages.
La folie des hommes et la force des choses en décidèren autrement. Le choc entre "l'empire des alliances" et la France, l'incapacité
de l'Eglise à se réformer et à s'adapter aux temps nouveaux, la pression de l'Islam ottoman et bien d'autres facteurs eurent raison de
cette ambition, en dépit de la hauteur de vue, de la noblesse d'âme, de la générosité de Charles. Eût-il gagné la partie en mettant
François Ier à genoux en imposant manu militari un concile, en faisant subir à Luther le sort jadis réservé à Jean Hus ; en
systématisant les bains de sang comme il le fit une fois, malgré lui, à Gand ; en exploitant sans vergogne le sac de Rome perpétré
sans son aveu par ses troupes et en jetant de l'huile sur le feu des divisions allemandes? Il eût fallu pour cela être un politique
roué, un cynique à la Louis XI plutôt qu'un chevalier. Bien qu'elle garde un certain mystère, son (ou plutôt ses) abdication(s)
montre(nt) qu'il était habité par une soif d'absolu bien différente de la volonté de puissance, et plus impérieuse qu'elle. En
disciple de Braudel, Pierre Chaunu fournit les clefs indispensables à la compréhension du "temps long" dans lequel s'insèrent
l'exceptionnel destin de Charles Quint et son échec final : poids des cultures et des mentalités, contraintes de la géographie et
lenteur des communications, nécessités de l'hérédité, séquelles des haines ancestrales. Michèle Escamilla, elle, en tentant d'
"entrevoir l'homme", s'attache à scruter minutieusement la part de liberté qui fut la sienne, celle dont il usa dans ses actes de
gouvernement comme celle qui l'amena à renoncer et à se retirer après avoir partagé ses domaines. Rarement livre aura mis en oeuvre
une telle somme de moyens pour faire saisir aux hommes d'aujourd'hui la radicale singularité d'une aventure européenne dont l'histoire
humaine ne connaît aucun équivalent.
- Chélini. Jean. L'Eglise sous Pie XII. Paris : Fayard, 1989. Description: La disparition de Daniel-Rops avait
interrompu sa monumentale Histoire de l'Eglise du Christ à la mort de Pie XI en 1939. Avec L'Eglise sous Pie XII, Jean Chélini, qui
par ses ouvrages a su faire renaître l'intérêt du grand public pour l'histoire religieuse, poursuit cette entreprise. Pour beaucoup
d'hommes d'aujourd'hui, Pie XII a été le pape de leur jeunesse. Ils l'ont admiré et éprouvent un certain malaise devant les critiques
dont il continue à faire l'objet. La masse des témoignages réunis maintenant permet de le laver de tout soupçon de complaisance envers
le nazisme et établit de façon irréfutable l'hostilité profonde du pontife et de son entourage pour Hitler et les entreprises du
national-socialisme. Des centaines de milliers de vies furent épargnées grâce à lui, et parmi elles de très nombreuses vies juives. Le
premier volume, La Tourmente, 1939-1945, présentait l'histoire tragique des débuts du pontificat et les six années de guerre. Avec ce
second tome, il est temps de clore ce mauvais procès par un non-lieu. Au miroir de l'histoire, Pie XII apparaît comme l'image grandiose
et rayonnante de la papauté, le modèle porté à la perfection du pape de la Contre-Réforme. Mais la solennité du comportement ne doit
pas nous cacher plus longtemps la hardiesse de sa démarche. Pie XII est de loin le pape le plus cité dans Vatican II. Si dans la
conception et l'exercice du métier de pape les différences avec ses successeurs sont réelles, si la manière de définir et de
"pratiquer" l'Eglise a changé avec le Concile, si l'oecuménisme a pris un nouvel essor, si s'est développé le dialogue entre l'Eglise
et le monde, le règne de Pie XII a préparé le travail conciliaire en posant les jalons de la réflexion et les linéaments des
réformes. Pie XII laisse une oeuvre immense, universelle, globalement novatrice, ouverte sur le monde et l'avenir; d'une certaine
façon il a été le dernier pape-roi, mais aussi le premier des "nouveaux papes".
- Cloulas, Ivan. Les Borgia. Paris : Fayard, 1987. Description: Exaltés par Machiavel mais stigmatisés par des générations
d'écrivains, les Borgia incarnent par excellence l'époque brillante de la Renaissance. Issus du royaume de Valence, peuplé de Maures et
de Juifs à demi convertis, ils trouvent leur chance dans les cours luxueuses des plus grands souverains. Le pape Alexandre VI, qui
achète son élection à grand prix, peuple le Vatican de cardinaux immoraux, de courtisanes et d'enfants naturels _ l'inquiétant César
et la belle Lucrèce. De l'habile évêque Alonso, vainqueur du Grand Schisme, à saint François, petit-fils du pape scandaleux, la chaîne
est longue et variée de ces personnalités hors du commun qui défrayent la chronique. L'aventure des Borgia, fertile en rebondissements
et en coups de théâtre, est riche d'enseignements sur la psychologie d'êtres exceptionnels qui laissent libre cours à leurs passions.
Mais l'intérêt de leur histoire tient aussi au fait que leur destin se confond avec celui du monde; à travers eux, nous assistons, au
terme des grands bouleversements de la fin du Moyen Age, à la révolution des moeurs et des mentalités qui donne naissance aux temps
modernes.
- Cloulas, Ivan. Jules II. Paris : Fayard, 1990. Description: C'est une étrange et farouche destinée que celle
du petit batelier de Savone devenu pape sous le nom de Jules II. Joignant le glaive à l'anathème, il abat tour à tour les Borgia,
Venise et le roi de France. Il consolide ainsi pour plus de trois siècles le pouvoir temporel du Saint-Siège; mais, en revanche, sourd
au scandale qui s'exprime par les voix de Machiavel, Erasme et Luther, il déchire l'Eglise et disloque l'Italie. Pourtant la postérité
garde de son pontificat une image exaltante, car le "pape terrible", exclu du Ciel par ses contemporains, a su appeler à Rome des
géants _ Bramante, Michel-Ange et Raphaël _ qui l'ont fait accéder à l'immortalité.
- Cloulas, Ivan. Laurent le Magnifique. Paris : Fayard, 1982. Description: Prince modèle de la Renaissance,
Laurent le Magnifique donne le ton à l'Europe civilisée de la fin du XVe siècle. Homme politique, il dispose à Florence de tous les
pouvoirs sous l'apparence d'institutions républicaines habilement vidées de leur contenu. Banquier, il impose sa volonté aux souverains
du monde en utilisant l'arme de l'argent par l'intermédiaire d'une société financière à développement multinational. Protecteur des
arts et des lettres, il encourage la magnifique floraison de l'Humanisme et de la Renaissance qui font de l'Italie le moteur de
l'Occident à l'aube des temps modernes. Cette réussite est obtenue à travers des drames, les révoltes sociales de la misère et de
l'ambition qui ont permis aux ancêtres de Laurent de bâtir leur fortune. Lui-même forge sa toute-puissance dans la répression de la
sanglante conjuration des Pazzi. Mais le succès politique a pour corollaire la ruine financière: la crise frappe de plein fouet la
banque Médicis. Laurent déploie alors son génie d'homme d'Etat. Il établit la paix dans une Italie déchirée par la cupidité des princes,
le népotisme des papes et les intrigues des dynasties étrangères dont il réussit à éviter l'intervention. Mais Laurent est aussi un
merveilleux poète. Ses oeuvres d'une extrême variété révèlent un tempérament amoureux, une fraîcheur d'âme, une angoisse de l'être qui
aujourd'hui encore nous touchent profondément. Unissant la quête du bonheur platonicien et les exigences chrétiennes, il reflète le
génie d'un temps qui sut mettre en images, sous le pinceau de Ghirlandaio et de Botticelli, la douceur et le charme des heures les plus
fragiles de la vie. Cette redécouverte de Laurent le Magnifique s'appuie sur un matériel documentaire remis à jour par les travaux les
plus récents de l'érudition internationale. L'auteur, conservateur en chef aux Archives nationales, ancien membre de l'Ecole française
de Rome et de la Casa de Velazquez à Madrid, est connu pour ses oeuvres concernant le Moyen Age et la Renaissance.
- Le concile de Trente (1551-1563). Joseph Lecler, Henri Holstein, Pierre Adnès, Charles Lefebvre et al. Paris :
Fayard, 2005. Description: Parue il y a quelques décennies aux éditions de l'Orante, cette monumentale et irremplaçable Histoire des
Conciles d'une quinzaine de volumes évoque en détails les dix-neufs conciles (l'Eglise d'Orient ne reconnaît que les sept premiers)
qui ont ponctué les destinées du christianisme. Loin de n'intéresser que l'histoire religieuse ou le contenu de la foi, elle permet
une approche différente du passé : de la réponse à des questions dogmatiques découle en effet une vision de la société et des affaires
politiques : il s'agit de mettre les fidèles en mesure d'accomplir le plan de Dieu, d'évangéliser, de réformer les comportements moraux,
etc. C'est donc une part essentielle de l'histoire du monde qui se joue dans les conciles.
- Cornwell, John. Newman’s unquiet grave: the reluctant saint. New York : Continuum, 2010. Description:
John Henry Newman was the most eminent English-speaking Christian thinker and writer of the past two hundred years. James Joyce hailed
him the 'greatest' prose stylist of the Victorian age. A problematic campaign to canonise Newman started fifty years ago. After many
delays John Paul II declared him a 'Venerable'. Then Pope Benedict XVI, a keen student of Newman's works, pressed for his beatification.
But was Newman a 'Saint'? In Newman's Unquiet Grave John Cornwell (author of A Thief in the Night and Hitler's Pope) tells the story of
the chequered attempts to establish Newman's sanctity against the background of major developments within Catholicism. His life was
marked by personal feuds, self-absorption, accusations of professional and artistic narcissism, hypochondria, and same-sex friendships
that at times bordered on the apparent homo-erotic. John Cornwell investigates the process of Newman's elevation to sainthood to
present a highly original and controversial new portrait of the great man's life and genius for a new generation of religious and
non-religious readers alike.
- Duffy, Eamon. Fires of Faith. Catholic England
under Mary Tudor. New Haven, CT : Yale University Press, 2010. Description:
The reign of Mary Tudor has been remembered as an era of sterile repression, when a reactionary monarch launched a doomed attempt to
reimpose Catholicism on an unwilling nation. Above all, the burning alive of more than 280 men and women for their religious beliefs
seared the rule of “Bloody Mary” into the protestant imagination as an alien aberration in the onward and upward march of the
English-speaking peoples. In this controversial reassessment, the renowned reformation historian Eamon Duffy argues that Mary's
regime was neither inept nor backward looking. Led by the queen's cousin, Cardinal Reginald Pole, Mary’s church dramatically reversed
the religious revolution imposed under the child king Edward VI. Inspired by the values of the European Counter-Reformation, the
cardinal and the queen reinstated the papacy and launched an effective propaganda campaign through pulpit and press. Even the most
notorious aspect of the regime, the burnings, proved devastatingly effective. Only the death of the childless queen and her
cardinal on the same day in November 1558 brought the protestant Elizabeth to the throne, thereby changing the course of English
history.
- Favier, Jean. Les Papes d'Avignon. Paris : Fayard, 2006. Description: Tout pousse Clément V, le Gascon sujet
du Capétien et fidèle du Plantagenêt, à retarder son voyage vers Rome. Porté à la temporisation, effrayé par les troubles qui ne
cessent d'agiter Rome, soucieux d'en finir d'abord avec tant d'affaires qui concernent la France et de les mettre à l'ordre du jour
d'un concile, il s'installe en 1309 à Avignon, hors du royaume de France mais aux portes de celui-ci. Ses successeurs trouveront
commode d'y demeurer. Ils en feront la capitale d'une énorme machine politique, administrative et financière largement dominée par les
Français mais non aux ordres du roi de France. La cour pontificale sera le foyer d'un rayonnement intellectuel et artistique sans
précédent. Mais le pape d'Avignon, c'est d'abord le pape. Et « là où est le pape, là est Rome ». Les choses changent en 1378, quand
une double élection donne à l'Église deux papes. Il en est un à Rome, un à Avignon. Ce Grand Schisme d'Occident sera pendant trente
ans l'une des plus terribles épreuves de l'Église. L'Occident chrétien en sortira changé.
- Firenze e i suoi cardinali. A cura di G. Aranci. Firenze : Pagnini, 2005. (Archivio arcivescovile di Firenze.
Studi e testi).
- Firpo, Massimo. Filippo II, Paolo IV e il processo inquisitoriale del cardinal Giovanni Morone, in Rivista
storica italiana, XCV n. 1 (1983), p. 5-62.
- Firpo, Massimo. Inquisizione romana e Controriforma. Studi sul cardinal Giovanni Morone e il suo processo d’eresia.
Bologna : il Mulino, 1992.
- Firpo, Massimo; Marcatto, Dario. Il processo inquisitoriale del cardinal Giovanni Morone. Edizione critica. Roma :
Istituto storico italiano per l'età moderna e contemporanea, 1981-1995. (Italia e Europa, collezione per il primo centenario dell'Unita).
Vol. 1: Il Compendium; Vol. 2, 1: Il processo d'accusa (parte prima); Vol. 2, 2: Il processo d'accusa ; Pt. 2; Vol. 3: I documenti
difensivi; Vol. 4: Il Processo difensivo bolognese ; la sentenza; Vol. 5: Il processo di Domenico Morando, documenti; Vol. 6: Appendice
2: Summarium processus originalis; Documenti.
- Gerhards, Agnès. Dictionnaire historique des ordres religieux. Paris : Fayard, 1998.
- Goubert, Pierre. Mazarin. Paris : Fayard, 1990. Description: EN DEHORS de souvenirs d’enfance liés à d’Artagnan et
quelques autres, le personnage m’a toujours fasciné, pour deux raisons. «D’abord, l’extraordinaire habileté avec laquelle il s’était
hissé au pouvoir et s’y était maintenu, malgré une conjonction ahurissante, mais désordonnée, d’inimitiés, de jalousies, de complots,
de calomnies, de brutalités, d’échecs apparents ou momentanés : spectacle saisissant d’une intelligence, surtout politique, qui
surclassait tout ce qu’on pouvait observer à son époque, et à beaucoup d’autres. «Le second titre de séduction découlait sans doute du
précédent, mais allait plus loin encore. [...] «On constate tout naturellement qu’à la mort de Richelieu (décembre 1642) puis à celle
de Louis XIII (mai 1643) ni la guerre contre l’Espagne ni la guerre contre l’Empire n’étaient achevées [...]. La double victoire fut
l’œuvre de Mazarin et de son équipe [...], et c’est grâce à lui qu’en 1648, puis en 1659 l’Alsace, l’Artois, le Roussil-lon, la
Cerdagne, le sud du Luxembourg et quelques autres lieux furent réunis au royaume. [...] Il faut fermement observer, et publier que,
sans l’Italien, il n’y aurait pas eu d’œuvre de Richelieu - les affaires protestantes exceptées. Et soutenir aussi fermement qu’il
n’exista pas un « grand cardinal », mais bien deux : sans le second, le premier eût-il laissé un tel souvenir? «D’autre part, faut-il
rappeler que ce ne furent pas les assez pâles précepteurs de Louis XIV qui le formèrent, mais, outre sa vigilante mère, son parrain
(père spirituel) le Cardinal qui lui apprit, dans le secret de son propre cabinet, avec les intrigues de Cour, l’Europe des princes et
des diplomates, des intrigues à démêler, des consciences à acheter et que tout homme, fût-il roi, est vénal ? [...] Plus évident encore,
le legs à son royal filleul de la totalité de son personnel gouvernemental [...].» Pierre Goubert.
- Le gouvernement pontifical sous Pie XI. Pratiques romaines et gestion de l'universel. Études réunies par Laura Pettinaroli.
Rome : École française de Rome, 2013. (Collection de l'École française de Rome, 467). Description: Quelques années après l'ouverture
des archives du pontificat de Pie XI (1922-1939), ce livre propose un état des lieux de la recherche sur cette période cruciale du
XXe siècle. Cet ouvrage regroupe, en effet, les actes d'un séminaire international tenu à l'École française de Rome en 2010 et 2011
qui a réuni une cinquantaine de chercheurs issus d'une dizaine de nationalités différentes. À l'aide d'études de cas inédites, les
auteurs ont interrogé les modalités du gouvernement de l'Église universelle à partir de son centre romain. De la collecte des
informations à l'identification des moyens humains et institutionnels de l'administration pontificale, en passant par l'étude des
processus de décisions et de leur application à l'échelle universelle, ces recherches permettent d'appréhender les spécificités du
style de gouvernement du pape Pie XI et du fonctionnement de la Curie à cette époque. Témoin des recherches en cours, cet ouvrage
constitue également un outil de travail sur le pontificat de Pie XI et offre des repères pour une réflexion plus globale sur le
gouvernement de l'Église catholique.
- Guéranger, Prosper. The Liturgical Year. Translated by Laurence Shepherd. Introduction by Henry Edward Manning.
15 vols. Black Eagle, MT : St Bonaventure Publications, 2000.
- Hibbert, Christopher. The Borgias and their enemies : 1431-1519. Orlando : Harcourt, Inc., 2008. Abstract:
The name Borgia's synonymous with the corruption, nepotism, and greed that were rife in Renaissance Italy. The powerful, voracious
Rodrigo Borgia, better known to history as Pope Alexander VI, was the central figure of the dynasty. Two of his seven papal offspring
also rose to power and fame--Lucrezia Borgia, his daughter, whose husband was famously murdered by her brother, and that brother,
Cesare, who served as the model for Machiavelli's The Prince. Notorious for seizing power, wealth, land, and titles through bribery,
marriage, and murder, the dynasty's dramatic rise from its Spanish roots to its occupation of the highest position in Renaissance
society forms a gripping tale. Erudite, witty, and insightful, Hibbert removes the layers of myth around the Borgia family and creates
a portrait alive with his sense of character and place.--From publisher description. Contents: The crumbling city -- Elections and
celebrations -- A man of endless virility -- Servant of the servant of God -- Marriages and alliances -- The French in Rome -- The
conquest of Naples -- The Borgia Bull -- Father and children -- The Dominican friar -- Murder -- Another husband for Lucrezia -- The
unwanted Cardinal's hat -- Cesare's French bride -- Conquests -- Jubilee -- Duke of the Romagna -- The Naples Campaign -- The Duke and
the Borgia girl -- Frolics and festivities -- The new bride -- Castles and condottieri -- The death of the Pope -- Conclaves -- Cesare
at bay -- Duchess of Ferrara -- The end of the affair -- The Death of the Duchess -- Saints and sinners.
- Hibbert, Christopher. The House of Medici: Its Rise and Fall. New York : Morrow, 1974. Description: At its
height Renaissance Florence was a centre of enormous wealth, power and influence. A republican city-state funded by trade and banking,
its often bloody political scene was dominated by rich mercantile families, the most famous of which were the Medici. This enthralling
book charts the family’s huge influence on the political, economic and cultural history of Florence. Beginning in the early 1430s with
the rise of the dynasty under the near-legendary Cosimo de Medici, it moves through their golden era as patrons of some of the most
remarkable artists and architects of the Renaissance, to the era of the Medici Popes and Grand Dukes, Florence’s slide into decay and
bankruptcy, and the end, in 1737, of the Medici line.
- Lecler, Joseph. Le concile de Vienne (1311-1312). Paris : Fayard, 2005. Description: Parue il y a quelques
décennies aux éditions de l'Orante, cette monumentale et irremplaçable Histoire des Conciles d'une quinzaine de volumes évoque en
détails les dix-neufs conciles (l'Eglise d'Orient ne reconnaît que les sept premiers) qui ont ponctué les destinées du christianisme.
Loin de n'intéresser que l'histoire religieuse ou le contenu de la foi, elle permet une approche différente du passé : de la réponse à
des questions dogmatiques découle en effet une vision de la société et des affaires politiques : il s'agit de mettre les fidèles en
mesure d'accomplir le plan de Dieu, d'évangéliser, de réformer les comportements moraux, etc. C'est donc une part essentielle de
l'histoire du monde qui se joue dans les conciles.
- Lemaitre, Nicole. Saint Pie V. Paris : Fayard, 1994. Description: Devenir un mythe de son vivant et pour les siècles:
tel fut le destin d'un petit paysan lombard du XVIe siècle, dominicain, grand inquisiteur, pape et saint de l'Eglise universelle.
Souverain absolu, Pie V voulut édifier une communauté chrétienne unifiée par la liturgie latine du Missel. Poursuivant avec ferveur un
idéal de pureté, il s'efforça de transformer Rome en couvent du monde et, pour ce faire, enferma les juifs et les courtisanes dans des
ghettos. Dans l'espérance de hâter le retour du Christ, il n'hésita pas à exclure les protestants de l'Eglise, et refusa même de faire
appel à eux pour repousser les Turcs. Une telle intransigeance se comprend mieux à l'échelle des attentes du temps: au lendemain du
concile de Trente, le vicaire du Christ se bat d'abord pour le rétablissement du catholicisme. Défenseur de l'orthodoxie, il subordonne
la politique pontificale à l'application de la réforme catholique, transformant la papauté médiévale en pouvoir exclusivement religieux.
Mais ce modèle de la Contre-Réforme triomphante témoigne aussi du renouvellement de la spiritualité catholique. Derrière le dominicain
au profil d'oiseau de proie se cache en effet un mystique, un homme qui rêve d'être le pape des Derniers Jours. Nul doute qu'après la
victoire de Lépante ses contemporains virent en lui un prophète et un guide donnant sens à leur combat spirituel.
- Lemerle, Frédérique. "Le cardinal Georges d'Armagnac et Guillaume Philandrier : le frontispice de la cathédrale Notre-Dame de
Rodez". In: Frédérique Lemerle, Yves Pauwels & Gennaro Toscano Les cardinaux de la Renaissance et la modernité
artistique. Résumé : L'exemple du cardinal Georges d'Armagnac, prélat et mécène d'exception, et de Guillaume Philandrier,
grand théoricien de l'architecture, commentateur de Vitruve, illustre parfaitement les liens étroits qui existaient à la Renaissance
entre cardinalat et architecture d'avant-garde. Le frontispice de la Cathédrale Notre-Dame de Rodez, unique réalisation de Philandrier,
universellement loué pour la pureté générale du dessin et la beauté des proportions, est le fruit de sa collaboration avec le cardinal
qui fit plusieurs séjours à Rome, dont deux accompagné du théoricien, lui offrant ainsi l'opportunité de fréquenter l'élite
intellectuelle et artistique romaine. La capacité d'invention de Guillaume Philandrier et les informations transmises par Georges
d'Armagnac, également féru d'architecture, expliquent la modernité du frontispice de la cathédrale ruthénoise, expression des
recherches architecturales menées à Rome dans les années 1550-1560, et plus globalement depuis le début du siècle, sur la façade
d'église. Access: Link to external website http://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00402815/en/
- Lever, Evelyne. L'Affaire du collier. Paris : Fayard, 2004. Description: « Un cardinal escroc, la reine
impliquée dans une affaire de faux ! Que de fange sur la crosse et le sceptre ! Quel triomphe pour les idées de liberté ! » Loin de
donner les clés de l'énigme, cette exclamation d'un magistrat du parlement de Paris montre l'importance d'une affaire marquée au coin
de l'invraisemblance. Quel auteur dramatique aurait imaginé un scénario mettant en scène la reine Marie-Antoinette et le cardinal
prince de Rohan, grand aumônier de France, avec une bande d'aventuriers et de charlatans tels que Cagliostro ? Le scandale dépassait
largement l'imbroglio romanesque des liaisons dangereuses et des intrigues de cour où la politique, l'escroquerie et le sexe se
trouvaient étroitement mêlés. Le retentissant procès qui s'ensuivit fut pourtant un véritable procès politique, mettant en cause le
régime, la société et la personne de la reine. Cette étrange aventure projetait sous les feux de l'actualité une société aristocratique
isolée du monde extérieur, prête à n'importe quelle extravagance pour échapper à l'ennui qui la délitait. Révélée dans sa faiblesse,
elle se profilait comme un bouc émissaire à abattre. Evelyne Lever a repris toutes les pièces de la procédure, interrogé les écrits du
temps relatifs à cet événement, qui «remplit d'épouvante» le jeune Goethe «comme l'aurait fait la tête de Méduse».
- Levillain, Philippe. Le moment Benoît XVI. Paris : Fayard, 2008. Description: Benoît XVI, expert au concile
Vatican II, un des deux seuls cardinaux survivants du pontificat de Paul VI, théologien prolixe et lumineux, collaborateur - pessimiste
aux yeux des uns, réaliste aux yeux des autres - de Jean-Paul II, a été chargé de faire entrer dans le troisième millénaire l'histoire
tragique de l'Église du XXe siècle dominée par un concile indispensable et utopique.
- Marini, Niccolò. L'azione diplomatica della S. Sede e il B. Niccolò Albergati vescovo e cardinale. Con
appendice. Roma : Tip. Vaticana, 1887.
- Marini, Niccolò. La Bibbia e l'Iiliade. Roma: Salviucci, 1900.
- Marini, Niccolò. Costante sollecitudine dei Romani Pontefici per l'unione delle chiese orientali dissidenti.
Roma : P. Ist. Pio IX, 1916.
- Marini, Niccolò. Costantino magno e l'unione delle chiese. Roma : M. Bretschneider, 1914. Note Estratto dal
"Bessarione".
- Marini, Niccolò. Discorso panegirico nella ven. chiesa di S. Maria in Portico in Campitelli per la
solenne coronazione di quella prodigiosa icone. Roma : V. Salviucci, 1899.
- Marini, Niccolò. Discorso pronunziato nella prima solenne adunanza del XVI Congresso eucaristico internazionale
tenutasi in Roma il dia 2 giugno 1905 nella basilica dei SS. Apostoli. Roma : V. Salviucci, 1905. Note Contiene riferimenti
bibliografici in nota.
- Marini, Niccolò. Discorsi sacri. 2 v. Roma : tip della Pace di F. Cuggiani, 1901, 1906.
- Marini, Niccolò. Il divorzio al lume della ragione. Roma : F. Cuggiani, 1906.
- Marini, Niccolò. L'estetica dello Stabat Mater. Siena : Tip. ed. S. Bernardino, 1897.
- Marini, Niccolò. Giuseppe Verdi. Roma : Tip. F. Cuggiani, 1901.
- Marini, Niccolò. L'Immacolata Concezione di Maria Vergine e la chiesa greca ortodossa dissidente. Roma :
V. Salviucci, 1908.
- Marini, Niccolò. Impressioni e ricordi di viaggi. Oriente. Roma : M. Bretschneider, 1913.
- In memoria di Niccolò Marini Cardinale di S. Romana Chiesa nel primo anniversario della sua morte.
Roma : Tipografia pontificia dell'Istituto Pio IX, 1924. Note Estratto da: il Bessarione : rivista di studi orientali.
- Marini, Niccolò. Una lezioncina di storia al sig. Diomede Cyriacos. Roma : Salviucci, 1902.
- Marini, Niccolò. La libertà. Roma : V. Salviucci, 1898.
- Marini, Niccolò. Le macchie apparenti nel grande luminare della Chiesa greca s. Giovanni Crisostomo. Saggio
critico di Mons. Niccolò Marini. Roma : Tipografia V. Salviucci, 1910.
- Qattan, Basilyus. Omaggio a Sua Em. R.ma il cardinale Niccolò Marini per la sua assunzione alla dignità cardinalizia;
poesia araba con traduzione libera italiana. Roma : Tip. pont. nell'Istituto Pio IX, 1917.
- Marini, Niccolò. Panegirico in onore del nome Ss.mo di Maria Vergine. Roma : [s.n.], 1901.
- Marini, Niccolò. Pietro Card. Marini, 1794-1863; reminiscenze di Mons. Niccolo Marini. Roma : V.
Salviucci, 1841.
- Marini, Niccolò. Il primato di S. Pietro difeso dal prete Bizantino Pietro Atanasio il Retore (sec. XVII).
Roma : Salviucci, 1899.
- Marini, Niccolò. Il primato di S. Pietro e dei soui successori in san Giovanni Crisostomo. Roma : Tip.
pontificia nell'Istitutot Pio IX (Artigianelli s. Giuseppe), 1919.
- Marini, Niccolò. Il primato di S. Pietro e dei suoi successori in san Giovanni Crisostomo. 2nd ed.
notabilmente accresciuta. Roma : Tipografica poliglotta vaticana, 1922. Note: Bibliografia in nota a fondo pagina.
- Marini, Niccolò. Le proemium de Didore de Sicile. Traduction de l'Italien par F. G. Paris : Victor Palme?,
1891.
- Marini, Niccolò. Sul proemio di Diodoro Siculo. French Title Le proemium de Diodore de Sicile
/ ètude de Mgr Nicolas Marini. 3d ed. rev. et augm. Rome : Imprimerie de la Paix de Ph. Cuggiani, 1900.
- Marini, Niccolò. Sul proemio di Diodoro Siculo. Osservazioni di Niccolò Marini. Siena : tip. s. Bernardino,
1890.
- Marini, Niccolò. Saggio di apologetica religiosa. Roma : Tip. della Pace di F. Cuggiani, 1901.
- Marini, Niccolò. Sanctissimo Nostro Benedicto PP. XV. VIII. Kal Augusti anno rep. sal. MCXV. Roma : Tip.
artig. S. Giuseppe, 1915. Note: Lettera augurale in occasione dell'onomastico del Papa.
- Marini, Niccolò. Il valore scientifico delle moderne teorie intorno alle donna. Roma : Tipografia vaticana,
1887.
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